Une nouvelle étape a été franchie dans le processus de révision du Plan de couverture des risques incendie de la MRC de La Nouvelle-Beauce, alors que le document vient d’être soumis au ministère de la Sécurité publique pour approbation finale.
Le plan a été adopté par le conseil des maires de la MRC, ainsi que par les élus des 11 municipalités qui la composent, après avoir été soumis à une consultation publique.
Dès qu’elle sera certifiée par le gouvernement du Québec, la MRC pourra débuter sa mise en œuvre, qui comprend notamment la mise en place du nouveau service d’inspection des bâtiments agricoles avec l’embauche d’un spécialiste en prévention.
Fondamentalement, le plan de couverture est un document de planification qui identifie les risques d’incendie en Nouvelle-Beauce, afin d’optimiser les ressources, les équipements et les mesures de prévention en matière de sécurité incendie. C’est ce plan qui optimise l’efficacité des services et qui renforce la protection de la population.
Couverture cellulaire
En appui à la Fédération québécoise des municipalités, le conseil de la MRC de La Nouvelle-Beauce a adopté une résolution pour demander aux principaux partis politiques au niveau fédéral d’inclure dans leur prochaine plateforme électorale, l’obligation pour toutes les entreprises de services cellulaires d’entrer dans des accords d’itinérance afin que les clients du service cellulaire, quel que soit leur fournisseur, puissent bénéficier de la présence de sites cellulaires dans la région où ils se trouvent.
La couverture cellulaire demeure incomplète au Québec malgré l’engagement du gouvernement du Québec de l’atteindre d’ici octobre 2026. Un changement de réglementation pourrait peut-être corriger la situation.
Pour le préfet de la Nouvelle-Beauce, Gaétan Vachon, cette demande est d’une grande importance pour la qualité de vie des citoyens et leur propre sécurité. De plus, cela est favorable au développement socio-économique, particulièrement dans un contexte où l’automatisation devient une solution incontournable à la pénurie de main d’œuvre.
Related News :