Seul entraîneur à avoir remporté 4 Ligues des champions, Carlo Ancelotti vise une nouvelle finale avec le Real Madrid ce mercredi face au Bayern Munich. L’Italien a su renouveler sa motivation et traverser les époques.
“ Où jouera Aurélien Tchouameni demain ? Je ne sais pas. » Un sourire en coin, un regard malicieux balayant la salle de presse où des rires timides s’échappent des journalistes, Carlo Ancelotti s’amuse, ça se voit.
Il était pourtant à vingt-quatre heures d’une demi-finale aller de Ligue des champions contre le Bayern Munich, le genre d’échéance où la pression culminante incite à se rapprocher, à fuir toute émotion, à privilégier la concentration, presque en même temps. excès. Plus encore au Real Madrid, le club qui gagne le plus souvent au monde, le plus exigeant, capable de siffler Cristiano Ronaldo pour trois mauvais matches entre deux Ballon d’Or récoltés.
Il y aurait mille et une raisons pour lesquelles Ancelotti, presque 65 ans (10 juin), est déjà à la retraite, retiré dans l’Émilie-Romagne de son enfance. Mais l’Italien au palmarès légendaire (14 titres en tant que joueur, 28 en tant qu’entraîneur) a encore faim, repoussant les limites, les siennes et celles de ses équipes.
Le Real reçoit le Bayern mercredi (21h00)…
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